On est plus au temps ou les contrées kabyles,dégagent l'odeur des arums de tous les
fruits et légumes de saisons.
Fini le temps on l'on se fait un sandwich à la tomate d'une odeur exceptionnelle
et d'un oignon qui donne les larmes au yeux, dés qu'on l'épluche ;avec une galette de
« vivrasse »,pour ceux qui aime le piment comme moi,le délice est inégalable;
accompagné d'une carafe de petit lait,sous l'ombre d'hêtre,
d'où préalablement j'ai coupé des branches pour nourrir mes vaches!
En desserre je me suis gardé une bonne pèche que j'ai lavé et laisser rafraîchir par le
ruissellement de l'eau de source bien couvert par un tunnel de ronces.
Comme je depondais du programme de mes vaches,qui en ce moment ruminent
sous l'ombre des peupliers.
Ce qui me donne l'occasion de faire une petite sieste.
En fermant les yeux je me laisse bercé par le chant des oiseaux.
L'image qui me revient de ces moment de mon enfance,c'est la sécurité totale que me
procurais ces espaces sublimes et réconfortant.
Aujourd'hui je comprends le désarroi des population kabyles,qui dénonce des intrus
dans leur écosystème comme un virus qui envahi un corps saint, s'en suit une
série de dérèglements..
Moi aussi à l'instar des autres kabyles qui se sentent menacés dans leur havre de paix,
le changement frappe à l'œil en dehors des bouleversement politiques qui ont secouer
la région, ce havre de paix qui jadis,attire tous les amoureux de la nature ,est décri
maintenant comme le fief des ogres qu'on évoque dans les contes des légendes.
En ne reconnaît aucune bonne odeur!!
"Parce que nous pensions que nous devions persuader, nous
avons oublié d'écouter."
Robert Schapiro
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire