jeudi 14 juillet 2011

Aire Algérie,"l'argent du peuple"

Une maison posée sur un socle sableux,finira toujours par s'enliser,quand il s'agit d'une construction individuelle,la personne responsable payera d'elle même le choix porter par son projet!
Mais quand il s agit d'un pays comme l'Algérie,qu'on cite par toutes les langues ,que c'est un grand pays ,aux capacités extraordinaires riche pardessus le marché. Justement c'est sa richesse qui le rend
vulnérable à la prédation!
Pourtant il a été bien défendu par ses vrais enfants qui l'aiment .que voit-on aujourd'hui ,49 ans après l'indépendance.
Ce qui m'interpelle en ce moment c'est cette grève d'air Algérie(qui est la vitrine du pays dans le monde)que voit-on(des algériens désireux d'aller voir les siens au pays, livrer à eux mêmes dans des aéroports européens sans aucune prise en charge,sans aucune information)
On leur fait payer leur attachement à leur pays de la sorte,au moment ou aucun touriste étranger ne s'aventure à prendre cette destination.
Je me pose la question,est ce vraiment le personnel d'air Algérie a une qualification de haut niveau dont les droits sont spoliés par la direction?
Moi j'ai l'habitude de prendre ses vols,j'ai toujours constater des passe droits,de la brosse pour les gros bonnets,un mépris pour de simple voyageur,contrairement aux personnels d'autres compagnie,qui se limite à assurer un bon service quelque soit le client.
Pourquoi la direction n'arrive pas à désamorcé le problème?
Parce que à la compagnie ,les poste ne sont pas acquis par ordre de mérite,si on reconstitue l'arbre généalogique de tous le personnel de la compagnie,nous trouverons des relations flagrantes entre
tous le personnel,chaque responsable à sont propre réseau ,et les conflits éclatent à chaque fois,que quelqu'un piétine l'intérêt de l'autre(ce n'est pas une entreprise classique ou le conflit éclate réellement entre responsables et salarié)ça sera un grand acquis quand en arrivera à cet maturité;
ou les intérêt des clients passerons avant tout autres conflit interne.
La situation s'enlise parce que chacun a un soutient derrière lui,et le citoyen algérien est là a subir les caprices des antagonistes.
La réalité et que un problème vient d'éclaté,et la direction n'ont envisagé aucune initiative pour rassurer les client,qui se plaignent de l'absence d'information et d'interlocuteur rassurant.
La grève était prévisible depuis plusieurs semaines. Et aucune partie ne semble aujourd'hui comme hier se soucier un tantinet du sort des centaines de passagers laissés à leur sort dans les différents aéroports. La crise couvait depuis plusieurs semaines donc. Malgré le changement opéré à la tête de la compagnie nationale, le dialogue était demeuré rompu entre le syndicat du personnel navigant et la direction. Chacun campait sur ses positions. Le syndicat exige une revalorisation à hauteur de 100% des salaires. Et la direction offre 20 % d'augmentation. Jusqu'à mercredi, les deux parties ont quelque mal à s'entendre. Et au milieu ce sont des milliers de vacanciers qui en font les frais.
N'oublions pas ces vols nationaux qu'ont passe sous silence,ou des centaines de passagers croupissent dans des situations dégradantes ,en plus des chaleurs qui persistes.
A l’ouest du pays, plusieurs vols ont été annulés. La décision du syndicat du personnel navigant a jeté l’émoi parmi les voyageurs. Des centaines de familles ont passé la nuit dans les aéroports, comme à Bechar , Oran où six vols sur sept ont été annulés. A l’est, selon la presse nationale, les voyageurs sont livrés à eux-mêmes. Aucune information ni prise en charge n’a été prévu par Air Algérie pour ses clients. Les passagers étaient désemparés à l’aéroport Mohamed Boudiaf de Constantine.
Au-delà des pertes occasionnées, des désagréments causés aux voyageurs et des mesures
prises en urgence, il y a lieu de se poser des questions sur les motivations réelles de cette grève. Pour certains syndicalistes au fait des réalités de la maison Air Algérie, cette grève est “un sabotage pur et simple”. À qui profite ce sabotage ? Évidemment aux compagnies concurrentes qui voudraient “se sucrer” en cette période estivale où la demande est des plus fortes.
Mais il n’y a pas que cela. Le nouveau patron d’Air Algérie, un enfant de la boîte, n’a même pas bénéficié d’un délai de grâce. Pourtant, il avait proposé une augmentation de 20% au personnel navigant commercial et s’est dit ouvert au dialogue. Mais ces derniers exigent une augmentation de plus de 100% et un statut identique à celui du personnel technique.
Air Algérie est une compagnie trop importante pour tomber entre les mains de gens irresponsables. Il est clair qu’au sommet de l’État, on a fait de mauvais choix, à une époque où chacun se permettait de placer ses hommes, sans prendre compte de leurs capacités managériales, encore moins de leur probité.
La crise que traverse présentement Air Algérie rappelle étrangement la campagne menée, il y a quelques semaines, contre le patron de Sonatrach. Il est clair que cette guerre des clans qui se déroule en sourdine comporte des risques énormes, dans la mesure où elle touche les compagnies les plus sensibles du pays et risque d’entamer durablement leur crédibilité et celle de l’État.
Il est temps, pour l’État d’en finir avec les désignations des copains, des fils du voisin et des filles du cousin aux postes-clés. L’État doit sonner la fin de la récréation, et faire confiance aux cadres compétents dont recèle le pays.
La crise actuelle d’Air Algérie n’est que la résultante d’une politique de copinage, de cooptation et de règlements de comptes dont les répercussions se traduisent sur l’économie nationale, sur l’image du pays et sur les pauvres voyageurs pris en otage. L'état prendra-t-il, enfin, conscience qu’il faudrait faire confiance aux compétences, loin de toutes considérations régionalistes, claniques ou mercantilistes ?
En effet en arrivé à cette conclusion,à chaque fois qu'il y a une distribution de logement,les citoyens ferment les routes,plusieurs manifestations sociales ce sont déroulée il n y a pas longtemps(médecin,avocat,police communale et j'en passe) tout est resté en suspense,mais qui arrive à trouver des solutions pour les conflits louches(concorde civile,impunité,et maintenant ils vont régler le problème de la Libye),pauvre Algérie!
En effet en arrivé à cette conclusion,à chaque fois qu'il y a une distribution de logement,
les citoyens ferment les routes,plusieurs manifestations sociales ce sont déroulée il n y a pas longtemps(médecin,avocat,police communale et j'en passe) tout est resté en suspense,mais qui arrive à trouver des solutions pour les conflits louches?(concorde civile,impunité,et maintenant ils vont régler le problème de la Libye),pauvre Algérie!


"Les épines que j'ai recueillies viennent de l'arbre que j'ai planté."
George Gordon, lord BYRON

samedi 9 juillet 2011

De "DSK" à ZERALDA

Nous avons tous suivi l'affaire du directeur,du fond monétaire international « F.M.I »
La presse du monde entier,à passer au crible cette affaire,en la rendant plus humaine « le riche et le pauvre ».
D'un coté un riche et fort homme,qui aurait abusé de son statut pour humilier une honnête femme de ménage,qui travail dur pour assurée sa survie et celle de sa fille.
Une autre hypothèse commence à devenir évidente,une prostitué notoire, a usé de son charme ,faisant des avances à une notoriété mondial.Comme son institution travail justement pour l'intérêt des pays pauvres ,il ne pouvait décevoir cette pauvre femme de ménage pour répondre à ses avances.
Dans le cas ou dans l'autre,la justice américaine à montrer au monde entier,que pour faire éclaté la vérité,il faut faire l'investigation sur toutes les éventualités. Si on est sur lebancdesaccusés, aucune faveur n'est toléré quelque soit le degré de notoriété du sujet.

Si j'ai évoqué cette histoire qui n'est pas encore fini,c'est pour faire le lien ,sur l'affaire du maire de
Zeralda à qui la presse algérienne n'accorde pas beaucoup d'intérêt,alors que c'est une affaire qui montre plusieurs facettes des coup bas et de corruption.
Selon l'avocat, le maire de Zéralda a été poursuivi sur la base
d'une plainte déposée par un fournisseur qui s'est plaint que les
achats engagés par la mairie n'aient pas été honorés. « Or,
explique-t-il, Mouhib Khatir a déposé plainte contre ce même
fournisseur le 16 mai 2006 auprès du tribunal de Chéraga pour
tentative de corruption. La plainte du maire est restée sans suite, pas celle du fournisseur.»

La gérante du cabaret aurait proposé 2 millions de dinars contre le silence du maire.
Plusieurs voix s'élèvent pour donner plus de prérogatives au maires,qui lui même est capable de répondre aux préoccupation de sa population et éviter des parachutage dont vie l'Algérie depuis l'indépendance.

Depuis plusieurs années, cet élu affirme mener une guerre contre des potentats locaux qui se sont accaparés des biens dans sa commune.

Dans une vidéo d’une quinzaine de minutes mise en ligne sur le réseau Youtube le 22 mai 2011, le maire de Zéralda accuse certaines personnes d’avoir fait main basse sur le centre d’affaires de sa commune.

Dans cette même vidéo, Mouhir Khatir interpelle directement le procureur général de Blida, Abdelli Mohamed, en l’accusant d'avoir monté une cabale judiciaire contre lui. Il l’accuse également d’avoir accaparé des biens ainsi que son frère, âgé d'une vingtaine d'années, et d’avoir couvert un réseau de prostitution.
Dans cette vidéo le maire de Zeralda raconte les péripéties de cette cabale judiciaire.
Un centre des affaires détourné de sa vocation
Le 20 avril 2008, dit-il, il dépose plainte pour mauvaise gestion dans les affaires du centre commercial de Zéralda, gestion qui remonte à l'année 1994.
Le 19 février 2008, il reçoit, explique-t-il, un rapport de la Cour des comptes qui évoque « la passivité de la tutelle et la
mauvaise gestion et un changement de vocation du centre des Affaires ».
Cet établissement censé abriter un hôtel, des bureaux d’affaires, une salle de conférence, a été transformé, selon le maire,
«en cabarets, en salles des fêtes, en bars, en chambres de passe dans l’hôtel».
Même le parking a été reconverti en «60 magasins informels sans registres du commerce», causant ainsi de graves préjudices financiers à la mairie.

Hélas cette affaire risque de passer sans suscitéé aucun débat politique,.encore en lisant certain articles de journaux cette affaire revelle des dossiers brulants ,qui parle de l'économie esouterraine des responsables algérien « En dehors dupétrole » Ceux sont des résponsablesqui sont en contact direct avec la population.
Loin du gouvernement,de la présidence; des généraux et des élus de lAPN.

Le procureur de Blida mis en accusation
Mouhir Khatir raconte encore. Le13 janvier 2010, le procureur général de Chéraga adresse un rapport au procureur de Blida, Abdelli Mohamed, l’informant que la section de recherches de la gendarmerie d’Alger a diligenté le 9 novembre 2008 une,enquête contre le centre des Affaires suite à la plainte déposée par le maire.
Mais voila. De statut de plaignant, ce dernier se retrouve dans le box des accusés. C’est ainsi que le 12 mai 2011, il est jugé au tribunal de Blida «pour dilapidation des biens de l’Etat» sur la base de l’article 29 du code pénal.
Fausses attestations de résidence
«Je voudrais savoir, Monsieur le procureur général de Blida, Abdelli Mohamed, qu’est ce que vous pouvez me reprocher et
quelle est la somme d’argent que moi j’ai dilapidée ?, s’interroge le maire dans cette vidéo. Est-ce que j’ai signé un acte ? Un contrat ?»

Je trouve que c'est bien dommage de passé à coté d'un debat dont tous les algerien se répète dans les cafés.
Des jeunes de Zéralda qui avaient osé élever des protestations contre ces pratiques ont été arrêtés et condamnés au tribunal de Chéraga, sur « ordre du procureur », affirme encore le maire.
Le cabaret fermé avec l'accord du wali d'Alger
Ce dernier aura tout de même réussi à fermer le cabaret, la salle des fêtes et le bar avec l’accord du wali d’Alger. «Mais

ils n’ont jamais cessé de travailler, souffle le maire. Tu peux te plaindre à qui tu veux. Tout le monde mange. L’hôtel possède 23 chambres de passe. Une chambre fait 5, 6 passes par jour.»

Mouhib Khatir enfonce le clou contre le procureur général de Blida : «J’ai déposé 24 plaintes, le procureur les a toutes

bloquées. De plaignant, je me suis retrouvé accusé. Des hommes et des femmes impliqués dans les magouilles liées au centre des Affaires ont témoigné contre moi.»
Prémonitoire, le président de l’APC affirme que le procureur est déterminé à le mettre en prison «parce que je le gène».
Jeudi soir, le maire de Zéralda passera sa première nuit à la prison de Hadjout.

L'affaire DSK en France à eu beaucoup de débat qui a fait délié les langues,plusieurs associations sont monter au créneaux pour justement déplorer les agissement de certains hommes politiques qui profitent de leur statut ce qui a pu faire aboutir la plainte posé sur George tronc maire « UMP ».

Quelques journaux algériens tentent de donner des orientations pour lancer le débat sur les sujets de ce genres,il me semble que si ces affaires sont suivi avec intérêt et que chaqu'un donne du sien,il va de l'intérêt de la justice algérienne d'aller chercher la vérité dans ce ta de bric à broc.Beaucoup vont faire des reproche à ma naïveté qui croit y avoir une vérité qui va surgir un jour;je vous l'accorde mais si nous nous fixons ensemble le but de faire surgir la vérité ,nous arriverons,fixons nous des objectifs,concentrons nous sur les faits non pas les personnes,et soyons juste.

Il dénonce la mafia et le procureur de faire main basse sur la ville, il est mis sous mandat de dépôt. Mouhib Khatir, président de l’APC de Zéralda, à 29 kms à l’ouest d’Alger, a été placé jeudi 07 juillet sous mandat de dépôt par le juge du tribunal de Hadjout, à l'ouest d'Algérie, a appris DNA auprès de son fils. Il a été interpellé dans la soirée du mercredi 07 juillet devant le siège de la mairie. Mouhib Khatir, 48 ans, accuse le procureur général de Blida d'avoir monté une cabale judiciaire contre lui.

"Pour voir loin, il faut y regarder de près."
André Isaac, dit Pierre DAC


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